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Cette étoile dans tes yeux

Vivre après la perte d’un enfant

Martine Derroja et Hombeline

Ce livre est la mise en lumière d’une histoire vécue et traversée, à travers le deuil d’un enfant, il vient questionner la souffrance de la séparation.
Il s’adresse à nous toutes et tous qui en prenant le risque d’aimer prenons le risque de perdre.

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Pour commander ce livre, vous pouvez téléphoner ou envoyer un mail à Hombeline
qui vous le fera parvenir par retour de courrier (info(at)hombeline.fr (remplacer le (at) par @))

Tarif : 12€ + 3€ de frais de port

Préface de Didier Weiss :

Ce récit à la première personne n’est pas seulement une ode à la résilience, une invitation à une vie plus grande que soi, un appel à une expérience de transcendance. Il est aussi, et surtout, un voyage initiatique, concret, brûlant, vers le vécu direct de ce que nous sommes « vraiment-vraiment », vers cette reconnaissance de notre nature originelle.

Cette fresque littéraire, poignante et d’une grande poésie, dépasse « notre humanité », en nous poussant aux confins de l’extrême qui nous est parfois donné à vivre, car vivre la mort de son enfant est une histoire impensable, impossible du point de vue humain.

C’est alors que peuvent surgir des questions existentielles « au-delà de l’humain ». C’est ainsi que peut se révéler un espace d’exploration impersonnel qui va aller chercher au plus prêt de la racine de la Vie.

Des pans entiers de nos croyances habituelles, accumulées une vie durant, s’effondrent. Nos certitudes quant à notre soi-disant libre arbitre ou encore notre existence apparemment séparée et isolée s’évaporent. Notre sens de la responsabilité, particulièrement actif dans un script de vie comme celui de Martine est vu d’un regard neuf, libre et joyeux, sans filtre aucun.

Et c’est la Découverte d’un torrent de Vie fait de cette unique « matière » qui est Paix immuable, Présence atemporelle, dont le flot est bien au-delà des affres de la souffrance, au-delà de de la joie et de la tristesse qui tisse d’instant en instant notre vie d’humain. Ce torrent impétueux est le jaillissement même de cette Source que nous sommes intimement, fondamentalement.

« La vie se vit et puis c’est tout ! » nous dit Martine, reconnaissant ainsi l’immense richesse et la beauté du Vivant, la grandeur de cette Manifestation, une et indivisible, dissolvant la partie imaginaire, en d’autres mots, le cauchemar ordinaire de séparation.

Et c’est ici que le terme « d’être humain » prend sa pleine signification. En cette absence extraordinaire du Rêve de séparation, en ce non-savoir fondamental, dans ce regard nouveau, émergent comme par miracle, émerveillement et gratitude. Je ne parle pas d’un état passager spécial ou exalté, mais d’un ressenti profond et tangible d’une simplicité enfantine : au-delà du bien et du mal, en cela du mystère du vivant, cette Vie se Sait, directement.

Didier Weiss

« Explorations non duelles »

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